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La médecine vibratoire

Il s'agit d'analyser le lien vibratoire qu'il y a entre la particule et l'onde de la matière observée. L'Organotest, que j'utilise pour les thérapies, n’aborde pas la notion d’analyse comme résultante d’un test reproductible.

Nous sommes dans le domaine de la mathématique des probabilités et non dans le résultat de réactivité physico-chimique ou de statistiques.

A partir des premières mesures effectuées sur les cibles lors de la phase d'acquisition des informations, le logiciel fait évoluer le modèle pour en déduire une approche probante qui tendra à évoluer vers une analyse fiable.

Pour faire une analogie, le bruit électromagnétique généré par les cellules, c'est à dire l'information perceptible liée aux fonctionnements physico-électro-chimiques de la cellule, est en perpétuelle variation et peut être assimilé à de l’énergie et à de l'information qui déterminent la forme d’un système physique.

Les algorithmes de l'Organotest, qui sont empruntés à la mécanique quantique, permettent d’extraire une forme à partir d’un élément tel qu’un système d'informations énergétiques. Cette forme est ensuite comparée à des modèles d'informations vibratoires enregistrés dans les mémoires de l'appareil. Ce type d'appareil s'intéresse plus à la genèse de l'organe (ADN, cellules, tissus, ...) ainsi qu'à ses éléments de communication et à son rayonnement d'informations, qu'à l'organe en lui-même, car c'est dans l'analyse de l'information qu'il se révèle le plus performant de part son principe.

 

La médecine n’est pas une science exacte car c’est une science humaine. Une analyse, même en laboratoire, peut ne pas détecter certains éléments (en cause, le protocole utilisé, une mauvaise prise d’échantillon, une mauvaise préparation, un temps de prise d’échantillon ne respectant pas des paramètres naturels, …) ou coûterait bien trop cher (séquençage de génomes). Aucune analyse, même classique, n’est fiable à 100%, d’autant que les divergences de protocoles utilisés conduisent à des divergences de résultats. La médecine s’appuie essentiellement sur des statistiques. Et l’on peut faire dire beaucoup de choses aux statistiques… Pour établir un diagnostic, on peut utiliser son intuition mais surtout le recoupement d’informations de symptômes. C’est le recoupement de plusieurs informations qui permet un bon diagnostic. Le modèle mathématique utilisé ne permettra jamais d’obtenir une répétabilité parfaite sur une première mesure.

 

De fait, l'analyse de l'information et la recherche d'état d'entropie vibratoire permet de voir des états auxquels la médecine académique  ne s’intéresse pas et d'objectiver des maladies en préparation ou passées alors que la médecine classique s’intéresse uniquement aux maladies avérées. Un aspect en opposition aux certitudes de la science officielle est la notion de "mémoire vibratoire" ou /et informationnelle. Une maladie d’origine infectieuse (ou l'utilisation de vaccins) laisse très souvent des traces qui se traduisent par des perturbations énergétiques pouvant entrainer des symptômes plus ou moins importants. L'utilisation d’appareil de mesure vibratoire aussi performant permet de déceler ces traces mémorielles (en le vérifiant par un rapprochement avec les antécédents de la personne) et de les corriger ainsi que leurs effets. La méta-thérapie se révèle alors efficace dans ce domaine. Il permet également de proposer une probabilité de concordance avec des organismes (virus, bactéries, champignons) et des constituants chimiques qui sont coûteuse et difficiles à mettre en évidence par les laboratoires ; mais aussi une liste de remèdes avec une assez bonne efficacité.

 

 

 

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